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Astrophyllite
Astrophyllite
Le nom de ce minéral vient du grec « astron » (étoile) » et du mot « phúlon » (feuille), en allusion à sa forme d'agrégats étoilés et de clivage micacé. Ce nom lui a été donné en 1854 par Carl Johan August Theodor Scheerer (1813-1875), chimiste, géologue et minéralogiste allemand. Cette appellation est reconnue par l’IMA (International Mineralogical Association).
Le premier spécimen d’astrophyllite a été découvert en 1844 sur l’île de Låven, dans le Langesundsfjorden au sud de la Norvège, par Paul Christian Weibye (1819-1865), minéralogiste norvégien. Il en fera la première description en 1848 comme un minéral brun micaeux (« brown glimmer »). C’est seulement en 1890 que Waldemar Christofer Brøgger (1851-1940), géologiste et minéralogiste norvégien, décrira en détails les propriétés cristallographiques, optiques et chimiques de l’astrophyllite.
Ce minéral relativement peu courant est un silicate de titane et de potassium. Sa chimie particulière rend son classement compliqué. Il peut en effet appartenir au groupe des inosilicates (le préfixe « ino » signifie « fibres » en grec), dont fait partie entre autre la jadéite et le spodumène, ou les phyllosilicates (le préfixe grec « phyllo » veut dire « feuille »), comme les micas, l’apophyllite ou encore le talc, ou encore dans un groupe intermédiaire entre ces deux groupes précités. Son aspect ressemble beaucoup à la kupletskite avec laquelle elle forme la série des isomorphes.
Opaque à translucide (à feuilles fines), la couleur de l’astrophyllite va du brun au brun rougeâtre, jaune bronze au jaune doré avec des éclats brillants de jaune or, d’orange ou de rouge. Ses agrégats lamellaires lui donnent un fort éclat submétallique.
Ses gisements principaux se trouvent au Canada, Etats-Unis, Chine, France, Grèce, Norvège, Russie Malawi et Nigeria,
Dureté de Mohs : 3
Purification : Pas d’eau, ni de sel ! (vu sa composition contenant beaucoup de fer). Amas de cristal ou coquille Saint-Jacques sont de bonnes options.
Rechargement : Soleil
Programmation : Pierre programmable dans la limite de ses propriétés
Par sa forte teneur en fer, potassium, manganèse, l’astrophyllite est parfaite lors de fatigue intense ou chronique. Le silicium lui aura un effet bénéfique sur les tissus. Le minéral rééquilibre l’ensemble des organes du système digestif et soutient encore les systèmes nerveux, hormonal, et reproducteur (symptômes prémenstruels et les troubles de la ménopause).
Cette pierre est très intéressante car assez « complète ». Elle est fortement reliée à la Terre (ancrage), tout comme aussi une sorte de « passerelle » pour les étoiles. Elle se connecte donc particulièrement au 1er chakra/Racine et au 7ème chakra/Couronne, alignant/harmonisant tous les autres. Elle illumine le vrai soi et infuse le système entier de lumière. Pierre de plénitude, d’acceptation et de transcendance, elle élargi notre perception spirituelle de toutes choses. Elle aide à libérer les anciens schémas et programmations sans aucune culpabilité afin que des progrès puissent être réalisés, donnant ainsi la capacité à faire des changements majeurs qui feront avancer notre parcours de vie d'une manière profonde. Ce serait encore une alliée puissante et protectrice lors de la participation à un voyage astral ou à un voyage chamanique.
Macro/oligo-élément(s) : Potassium, Fer, Silicium, Manganèse, Titane
Chakra(s) associé(s) : Tous, principalement 1er et 7ème chakras.
Mise en garde : La lithothérapie ne doit en aucun cas être substituée à un traitement médical prescrit. Elle ne doit agir qu'en renforcement de ce traitement.
© 2021 Les Joyaux de Cybele
Tags : astrophyllite, titane
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